Combien de «fuck» dans les films de Quentin Tarantino et Martin Scorsese?
Publié le 20 Janvier 2008
824. C’est le nombre de fois que le mot «fuck» est prononcé dans le bien-nommé «Fuck», un documentaire réalisé par Steve Anderson en 2005 sur, précisément, les mystères de ce gros mot.
Avec un tel score, ce film arrive largement en tête des longs métrages les mieux pourvus en «fuck», d’après le classement réalisé par ce site - qui s’est amusé à compter les occurrences de l’insulte dans divers films. En deuxième position arrive «Nil by Mouth» de Gary Oldman avec 428 «fuck» suivi de «Casino» de Martin Scorsese (398 occurences). «Reservoir Dogs» (269), «Pulp Fiction» (265), deux films de Quentin Tarantino, et «The Big Lebowski» (260) des frères Coen se partagent respectivement les 19, 20 et 21es places.
Dans ce drôle de classement n’apparaît pas la scène inaugurale de «Quatre mariages et un enterrement» avec Hugh Grant et Andy MacDowell, pourtant bien lotie en «fuck» à la chaîne, ni de film français. Dommage pour cette parodie de film d’action signé Les Inconnus aux dialogues délicieusement sous-titrés («Je t’embête, oui, je t’embête»).
Un «fuck» polysémique
«J’ai toujours été intrigué par ce mot qui est à la fois un nom, un verbe et un adjectif, confie Steve Anderson. Il peut être utilisé de plein de façons différentes et dans des contextes très variés.»